Il a témoigné qu'il avait écrit son message sous le coup de la colère, sans véritable intention de violence, mais plutôt comme une critique médiatique.
Durocher, de son côté, a raconté comment le message l'avait profondément troublée et menacée, l'incitant à déposer une plainte pour protéger son intégrité et encourager d'autres victimes potentielles à faire de même.
Les avocats ont présenté des arguments divergents : la Couronne soulignant l'impact et la perception des menaces, tandis que la défense insistait sur les excuses de Larouche et sur la suppression rapide du message incriminé.