Selon des informations rapportées par Le Journal de Québec, ces augmentations toucheront autant les individus que les entreprises, laissant peu d'espoir d'un allègement fiscal.
Les nouvelles projections, dévoilées dans le rapport annuel de la Fédération canadienne des contribuables (FCC), prévoient des augmentations notables.
Parmi celles-ci, des taxes sur la masse salariale imposées par le gouvernement provincial viendront alourdir les charges sociales des travailleurs.
Ces coûts, combinés à des hausses prévues pour le Régime de rentes du Québec (RRQ) et l'assurance-emploi (AE), pourraient représenter jusqu'à 218 $ supplémentaires par employé.
Les employeurs, quant à eux, devront absorber une part équivalente, soulignent les experts dans Le Journal de Québec.
Du côté des villes, Montréal et Québec ne seront pas en reste avec des hausses significatives des frais d'immatriculation. Les Montréalais pourraient voir ces frais bondir à 150 $ par véhicule, tandis qu'à Québec, ils pourraient tripler, atteignant 90 $.
Pour une famille possédant deux voitures, cela équivaut à un surcoût annuel de plusieurs centaines de dollars, rapporte également Le Journal de Québec.
Le gouvernement fédéral ne sera pas en reste avec des augmentations sur les gains en capital, les taxes sur l'alcool, les services numériques et la diffusion en continu.
Ces mesures s'ajoutent à une fiscalité déjà considérée comme l'une des plus lourdes en Amérique du Nord.
En conclusion, les Québécois devront affronter des défis financiers majeurs en 2025, sans réel répit en vue.
Comme le rapporte Le Journal de Québec, il sera crucial pour les gouvernements de mieux encadrer leurs dépenses pour éviter de faire peser davantage ce fardeau sur les contribuables.