Une caissière de Joliette dénonce la pire cliente qu'elle ait jamais servie
Dans les derniers jours, une caissière de Jonquière a publié sur son Facebook une expérience négative avec une cliente.
Elle dévoile sa conversation avec une madame qui ne lui a pas témoigné beaucoup de politesse.
Voici son histoire :
« Depuis des années, j'exerce mon métier de caissière dans un grand magasin au Québec, que je préfère garder anonyme. Récemment, j'ai vécu une semaine éprouvante, et pour couronner le tout, est arrivée LA cliente, celle que l'on n'oublie pas de sitôt.
Cette cliente était non seulement au téléphone en parlant bruyamment, mais elle ne me prêtait aucune attention. Son chariot débordait de 4383 articles, elle mâchait bruyamment un chewing-gum et utilisait ses doigts pour en faire une boule qu'elle remettait dans sa bouche tout en les léchant (WTF !).
Malgré tout, je lui ai adressé un aimable « bonjour », mais elle m'a superbement ignorée. Cette femme, d'environ 40 ans, s'est mise à disposer ses articles pour que je les scanne tout en continuant à converser au téléphone.
À la fin de la transaction, elle a sorti une pile de papiers qu'elle a déposée directement sur ma caisse. Ma curiosité a pris le dessus.
Moi : Madame, qu'est-ce que c'est que ça ?
Cliente :
Moi : MADAME ?
Cliente : Elle continue à parler au téléphone.
Moi : MAAAAAAAAADAME ! ! !
Cliente : « Eh bien, qui vous permet de crier de la sorte envers une cliente ? »
Moi : J'ai appelé trois fois. Je veux savoir ce que sont ces bouts de papier
Cliente : « Ces sont mes coupons ! ! ! »
Moi : soupire
Je commence à déballer les coupons un par un. Ils sont tous pliés, froissés, et cela ralentit tous les autres clients, car je suis la seule caisse ouverte.
En scannant les coupons, je réalise que certains d'entre eux sont périmés, d'autres ne correspondent même pas à notre magasin, tandis que d'autres ne sont valables que la semaine prochaine, etc.
Moi : Madame ?
Cliente :
Moi : MADAME ! ! !
Cliente : « C'est quoi encore ? T'es sérieuse ? Dépêche-toi, je suis pressée ! »
Moi : Beaucoup de vos coupons ne sont plus valables, et
Cliente : « PARDON ? ! ? TU TE MOQUES DE MOI ? ! ? FAIS MARCHER CES COUPONS, J'AI LA PRESSION ! ! »
Moi : Certains de ces coupons ne sont même pas pour ce magasin
Cliente : « CE N'EST PAS MON PROBLÈME ! RÉSOUDS ÇA ! APPELLE TON GÉRANT, UTILISE LES COUPONS MAINTENANT ! ! ! »
Moi : Mais, madame, je
Cliente : Elle reprend sa conversation téléphonique.
À bout de patience, je ne pouvais plus tenir. Mon gérant était introuvable, la file d'attente s'allongeait, et les clients me regardaient tous avec compassion, sachant que cette cliente était un véritable cas.
J'ai donc scanné les coupons valides, rangé les articles de la dame dans des sacs, et j'ai finalement déclaré :
Moi : Très bien, madame, j'ai scanné tous les coupons valides. Et puisqu'on est vendredi, je peux sans problème vous accorder le tarif réduit pour les personnes âgées, vous économiserez ainsi 20 $.
Tous les clients derrière se sont retenus de rire.
Cliente : « PARDON ? ! ? PERSONNE ÂGÉE ? ! ? J'AI 41 ANS ! »
Moi : « Oh ! Pardonnez-moi, madame, je suis épuisée. Je vais donc retirer le rabais. Voici le montant final. »
Vous ne pouvez pas imaginer à quel point cette dame était outrée. Elle n'a plus prononcé un mot, a raccroché son téléphone, payé, et s'est éclipsée en marmonnant d'étranges choses.
Ce petit moment d'ironie m'a redonné le sourire, malgré la semaine éprouvante que je venais de vivre. »
Cette cliente était non seulement au téléphone en parlant bruyamment, mais elle ne me prêtait aucune attention. Son chariot débordait de 4383 articles, elle mâchait bruyamment un chewing-gum et utilisait ses doigts pour en faire une boule qu'elle remettait dans sa bouche tout en les léchant (WTF !).
Malgré tout, je lui ai adressé un aimable « bonjour », mais elle m'a superbement ignorée. Cette femme, d'environ 40 ans, s'est mise à disposer ses articles pour que je les scanne tout en continuant à converser au téléphone.
À la fin de la transaction, elle a sorti une pile de papiers qu'elle a déposée directement sur ma caisse. Ma curiosité a pris le dessus.
Moi : Madame, qu'est-ce que c'est que ça ?
Cliente :
Moi : MADAME ?
Cliente : Elle continue à parler au téléphone.
Moi : MAAAAAAAAADAME ! ! !
Cliente : « Eh bien, qui vous permet de crier de la sorte envers une cliente ? »
Moi : J'ai appelé trois fois. Je veux savoir ce que sont ces bouts de papier
Cliente : « Ces sont mes coupons ! ! ! »
Moi : soupire
Je commence à déballer les coupons un par un. Ils sont tous pliés, froissés, et cela ralentit tous les autres clients, car je suis la seule caisse ouverte.
En scannant les coupons, je réalise que certains d'entre eux sont périmés, d'autres ne correspondent même pas à notre magasin, tandis que d'autres ne sont valables que la semaine prochaine, etc.
Moi : Madame ?
Cliente :
Moi : MADAME ! ! !
Cliente : « C'est quoi encore ? T'es sérieuse ? Dépêche-toi, je suis pressée ! »
Moi : Beaucoup de vos coupons ne sont plus valables, et
Cliente : « PARDON ? ! ? TU TE MOQUES DE MOI ? ! ? FAIS MARCHER CES COUPONS, J'AI LA PRESSION ! ! »
Moi : Certains de ces coupons ne sont même pas pour ce magasin
Cliente : « CE N'EST PAS MON PROBLÈME ! RÉSOUDS ÇA ! APPELLE TON GÉRANT, UTILISE LES COUPONS MAINTENANT ! ! ! »
Moi : Mais, madame, je
Cliente : Elle reprend sa conversation téléphonique.
À bout de patience, je ne pouvais plus tenir. Mon gérant était introuvable, la file d'attente s'allongeait, et les clients me regardaient tous avec compassion, sachant que cette cliente était un véritable cas.
J'ai donc scanné les coupons valides, rangé les articles de la dame dans des sacs, et j'ai finalement déclaré :
Moi : Très bien, madame, j'ai scanné tous les coupons valides. Et puisqu'on est vendredi, je peux sans problème vous accorder le tarif réduit pour les personnes âgées, vous économiserez ainsi 20 $.
Tous les clients derrière se sont retenus de rire.
Cliente : « PARDON ? ! ? PERSONNE ÂGÉE ? ! ? J'AI 41 ANS ! »
Moi : « Oh ! Pardonnez-moi, madame, je suis épuisée. Je vais donc retirer le rabais. Voici le montant final. »
Vous ne pouvez pas imaginer à quel point cette dame était outrée. Elle n'a plus prononcé un mot, a raccroché son téléphone, payé, et s'est éclipsée en marmonnant d'étranges choses.
Ce petit moment d'ironie m'a redonné le sourire, malgré la semaine éprouvante que je venais de vivre. »
Voici sa publication:
C'est là qu'on voit qu'être caissière n'est pas toujours facile !
Source: Conneries Qc
Une caissière à Joliette raconte qu'elle vient de servir la pire cliente de l'année
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