« Je suis né à Montréal, je suis un enfant de l'asphalte. Toutefois, dans les dernières années, j'ai ressenti l'appel de la nature. Je me suis donc ramassé dans une belle petite maison, située sur le bord du fleuve Saint-Laurent, où je peux planter des fleurs et des rosiers. Tous les soirs, j'ai la chance de voir des couchers de soleil spectaculaires à travers les branches des saules pleureurs. Pendant la pandémie, je me suis souvent amusé à gratter la guitare avec un chum autour d'un feu de camp, à créer de nouvelles chansons. »
Cette décision le rapproche assurément de la quiétude naturelle.