De nombreuses émissions phares ont vu leur diffusion diminuer sur diverses chaînes majeures, et dernièrement, c'est Radio-Canada qui a ressenti l'impact de ces décisions, avec la suppression de 20,5 positions dans les divisions de la Télévision et des Médias numériques, incluant quatre emplois à la télévision et un demi-poste en temps partiel.
Ces annulations viennent s'ajouter à 21 postes précédemment supprimés au sein du département de la communication et du marketing.
Ces actions s'inscrivent dans une stratégie de Radio-Canada visant à pallier un déficit financier, avec des coupes budgétaires atteignant les 125 millions de dollars et la suppression d'environ 800 postes, touchant à la fois les secteurs francophones et anglophones, comme le rapporte le Journal de Montréal:
Télé et web: une vingtaine de postes abolis à Radio-Canada (@CedricBelanger) https://t.co/OMH98Gn3LM— Le Journal de Montréal (@JdeMontreal) February 1, 2024
Actuellement, les services les plus apparents pour les téléspectateurs demeurent intacts, cependant, l'effet à long terme de ces réductions sur la qualité des services est encore à déterminer.
Cette circonstance amène à se demander si ces décisions sont perçues comme étant injustes ou, au contraire, comme le reflet d'une gestion financière avisée.
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Source: L'Informateur | M-A Lafleur
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