Cette éventuelle réduction, qui pourrait atteindre 1 % dans certains cas, s'alignerait sur les pratiques observées dans d'autres pays.
Francis Gosselin, économiste interviewé par TVA Nouvelles, mentionne l'exemple de la Norvège où la commission moyenne est d'environ 1,3 ou 1,4 %, ce qui représente un coût nettement moins élevé pour les vendeurs de biens immobiliers.
Dans un contexte où l'accès à la propriété devient de plus en plus coûteux, l'expert suggère qu'une réduction des frais de courtage pourrait contribuer à modérer les prix des propriétés.
Il évoque un cas aux États-Unis où cinq individus ont engagé des poursuites contre l'Association nationale des courtiers immobiliers, aboutissant à un règlement de 500 millions de dollars pour des pratiques de fixation des commissions.
Ce cas souligne la possibilité de contester et de négocier les taux de commission, une pratique également valable au Québec.
Francis Gosselin souligne l'importance de sensibiliser le public à la négociabilité des commissions de courtage, encourageant les vendeurs à demander des réductions.
Il met également en avant le monopole détenu par les agents immobiliers sur l'utilisation de la plateforme Centris, suggérant que la promotion d'alternatives telles que DuProprio et ProprioDirect pourrait favoriser une concurrence bénéfique pour les consommateurs, potentiellement en réduisant les coûts associés aux transactions immobilières.
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Source: Mon Fric
Bientôt des commissions à la baisse pour les courtiers immobiliers
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