Cette décision, communiquée aux employés le 18 mars via une lettre, est motivée par plusieurs facteurs, dont la baisse de l'approvisionnement en matières premières, la pénurie de main-d'oeuvre et les difficultés financières croissantes.
De plus, des problèmes ont été causés par des changements dans la politique fédérale des visas, entravant l'embauche de travailleurs étrangers.
Cette fermeture a un impact significatif sur la région de Matane, connue pour son industrie de la crevette.
Les autorités locales expriment leur déception et soulignent l'importance de soutenir les travailleurs touchés tout en cherchant des solutions pour l'avenir économique de la région.
Les réactions politiques à la fermeture de l'usine de Matane sont diverses. Pascal Bérubé, le député local, montre sa déception et souligne l'importance d'aider les employés touchés tout en réfléchissant à l'avenir économique de la région.
Le maire Eddy Métiver exprime sa surprise face à cette annonce et met en avant les investissements réalisés dans l'infrastructure locale.
De son côté, Kristina Michaud, députée du Bloc Québécois, critique le gouvernement pour les problèmes bureaucratiques liés à l'emploi de travailleurs étrangers.
La fermeture de l'usine, qui emploie environ 150 personnes, représente un défi économique régional nécessitant des efforts supplémentaires pour trouver des solutions durables et soutenir les travailleurs concernés.
Source: MonMatane | Antoine Desrosiers
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