Pourboires : Richard Martineau exprime vivement son désaccord
Richard Martineau partage son insatisfaction et son irritation concernant la coutume des pourboires au Québec dans sa plus récente chronique pour LCN, incitant ainsi à une réévaluation de cette pratique.
Il remarque avec exaspération que le pourboire est devenu une attente même dans des situations où aucun service direct n'est fourni, comme lors de l'achat d'un sandwich dans une boulangerie ou pour des plats à emporter, remettant en question la légitimité des pourboires dans de telles circonstances.
Richard Martineau critique l'élargissement des attentes en matière de pourboire, qui semble désormais englober une variété d'employés au-delà du serveur traditionnel, tels que le chef, le sous-chef et même le laveur de vaisselle :
Il propose de prendre exemple sur la France, où le pourboire est inclus dans la facture, évitant ainsi les situations inconfortables et profitant à tous :
Cette approche simplifierait les transactions et alignerait les attentes des clients avec les pratiques de service.
De plus, les résultats d'un sondage publié par Hardbacon, une application de gestion financière personnelle, révèlent une tendance alarmante : 65% des Canadiens se sentent obligés de laisser un pourboire simplement parce que cette option leur est proposée sur le terminal de paiement.
De même, 62% reconnaissent avoir laissé un pourboire plus important que prévu initialement, influencés par les pourcentages suggérés par ces terminaux.
Source MonFric:
Richard Martineau se vide le coeur sur les pourboires et affirme qu'il n'y comprend plus rien
| SONDAGE | ||
Donnez-vous plus de 15% de pourboire? | ||
| Oui | 206 | 30.5 % |
| Non | 470 | 69.5 % |
| Liste des sondages | ||
