Boucar Diouf remporte le prix du costume de l'année
Boucar Diouf sait toujours comment faire rire, et pour l'Halloween, il n'a pas manqué l'occasion.
Il s'est déguisé en Mercredi, personnage emblématique de la famille Addams. C'était parfait! Voici sa publication Facebook, ainsi ce qu'il a écrit pour l'accompagner:
« Déguisé en Mercredi..même si c'est jeudi! »
Mentionnons que l'humoriste, animateur et professeur, est en tournée à travers le Québec avec son spectacle Nomo Sapiens. Pour les dates, cliquez ICI.
Rappelons aussi que Boucar Diouf a perdu son père cet été. Il avait voyagé jusqu'au Sénégal pour lui dire un dernier adieu.
Il avait partagé un message émouvant en son honneur sur les réseaux sociaux. En voici un extrait:
« Gorgui Diouf (1921- 2024)
Cette semaine, j'ai enterré mon papa au Sénégal. Il est parti en laissant un grand vide autour de lui. Lorsqu'un grand arbre à palabre du calibre de cet homme s'effondre, que son ombre salutaire disparaît, que cessent les réunions qui solidifiaient les liens dans le rire comme dans les pleurs, l'inévitable mélange de tristesse et de nostalgie se prépare à traverser les coeurs et les esprits.
C'est ce sentiment qui a traversé notre famille avec son départ de ce vieux lion centenaire. Plus grand que nature, il était un être de famille d'une grande droiture, un travailleur infatigable, une aiguille qui rapiéçait les liens familiaux et communautaires, un baobab profondément enraciné dans la terre de ses ancêtres qui restera dans nos mémoires pour très longtemps. [...] »
Cette semaine, j'ai enterré mon papa au Sénégal. Il est parti en laissant un grand vide autour de lui. Lorsqu'un grand arbre à palabre du calibre de cet homme s'effondre, que son ombre salutaire disparaît, que cessent les réunions qui solidifiaient les liens dans le rire comme dans les pleurs, l'inévitable mélange de tristesse et de nostalgie se prépare à traverser les coeurs et les esprits.
C'est ce sentiment qui a traversé notre famille avec son départ de ce vieux lion centenaire. Plus grand que nature, il était un être de famille d'une grande droiture, un travailleur infatigable, une aiguille qui rapiéçait les liens familiaux et communautaires, un baobab profondément enraciné dans la terre de ses ancêtres qui restera dans nos mémoires pour très longtemps. [...] »
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