En effet, il constate que depuis la crise sanitaire, les suggestions de pourboires affichées sur les appareils de paiement ont grimpé, passant du traditionnel 15 % à des montants plus conséquents de 18 %, 20 %, voire 25 %, même pour des prestations minimales.
Il exprime son mécontentement face à cette exigence croissante envers les clients et critique la nouvelle norme qui consiste à demander des pourboires pour de simples transactions au comptoir, telles que l'achat d'un jus de pomme et d'un sandwich, où le service est quasi inexistant.
Mario Dumont appelle à résister à cette pression et à faire la part des choses entre être généreux et se sentir exploité par ces exigences.
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Source: MonFric
Crédit: Journal de Montréal | Mario Dumont
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