Sophie Grégoire-Trudeau parle de ses regrets
Dans les derniers jours, Sophie Grégoire-Trudeau a fait une entrevue avec le 7 Jours où elle s'ouvre sur les difficultés qu'elle a vécues dans sa vie.
Elle a, bien sûr, parlé de son livre Entre nous : Mieux se connaître, mieux s'aimer, où elle aborde la connaissance de soi, le fait de mieux se comprendre et de comprendre nos émotions.
Voici le synopsis de son livre :
«ENTRE NOUS est un livre axé sur la connaissance de soi. Il explore l'importance de mieux comprendre nos émotions et les mécanismes de notre personnalité afin de maintenir une bonne santé mentale tant sur le plan individuel que collectif. ENTRE NOUS nous donne accès à la science derrière la santé du cerveau, met en lumière nos signatures émotionnelles uniques et puise à même les histoires personnelles de l'autrice, qui partage avec les lecteurs différents aspects de son propre cheminement. De plus, l'ouvrage est enrichi d'entrevues exclusives avec les meilleurs spécialistes québécois, canadiens et internationaux.»
Dans l'entrevue, elle parle avec beaucoup d'ouverture de ses épisodes de troubles alimentaires :
« Par exemple, j'ai souffert de désordres alimentaires. Je sais ce que c'est que de se sentir seule au monde, et je ne veux pas que d'autres se sentent ainsi. Et si c'est le cas, j'aimerais qu'ils sachent qu'il existe un moyen de s'en sortir.»
Elle évoque ensuite toutes les difficultés qu'elle a traversées dans sa vie :
«En en parlant ensemble. En ne nous mettant pas la tête dans le sable. En abordant des sujets qui créent de l'inconfort... Mais il est là, le cadeau. Je pense que la plus grande leçon que j'ai apprise, c'est que même si certaines parties nous appartiennent, nous ne sommes pas obligés de faire le travail seul. Il faut être capable d'aller à l'intérieur de soi-même pour pouvoir changer son comportement et s'adapter au monde.»
Elle ajoute que, plus jeune, elle était trop préoccupée par ce que les gens pouvaient penser d'elle, ce qui était très difficile à gérer :
«Je m'en faisais beaucoup. Beaucoup trop. J'avais tout en moi pour avancer. Et bien sûr, j'aurais dû demander de l'aide avant.»
Pour l'entrevue complète, c'est par ICI!
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